“Le géant chauve” a attiré mon attention maintes fois lors de la légendaire Tour de France avec ses histoires d’escalade héroïque. Même les plus grands dieux du cyclisme doivent aller profonds, parfois même avec des conséquences fatales, telle que celle du champion britannique Tom Simson le 13 juillet 1967.

Malgré tout ce que j’avais lu sur le Mont Ventoux, j’étais un peu déçu quand je le voyais pour la première fois “en direct”. Il m’a semblé une grande colline avec une pente douce! J’avais déjà grimpé Alpe’ d’ Huez, le Stelvio et le Galibier Ce Mont ne me donnait donc pas peur!. Une journée bien chaude en juin, j’ai quitté Bedoin un peu trop confiant et enthousiaste en haut de la montagne. La chaleur dans la forêt de chênes, l’impossibilité de récupérer, m’ont forcé retour à la selle. Une fois passé la limite des arbres, je pouvais me concentrer sur la tour typique de la station météorologique située au sommet. A l’arrivée j’étais fatigué mais satisfait et j’ai appricié le spectacle inattentue sur le sommet!!! Je suis tombé amoureux !

J’ai passé la nuit dans mon campeur sous le sommet. Le lendemain Iban Mayo a monté la Dauphine Liberée sur 55.51 minutes…presque deux fois plus vite que moi!

● Grange Ventoux Monieux est idéalement situé aussi bien pour le grimpeur débutant que pour celui qui vient pour un Cingles.
● Le côté « Sault » reste la montée la plus facile et la plus “prudente” après une montée fatigante.
● La descente des Gorges de La Nesques commence à quelques kilomètres de notre maison.
● Une visite du Ventoux est également idéale pour mieux connaître la région.
● Autour du plateau de Sault, il y a beaucoup de cols moins connus qui sont des itinéraires d’entraînement idéaux.
● Homme Mort, La Giviére, Murs et Saint-Jean sont quelques noms des 24 cols du quartier.